L'Humaine



Mon nom biologique est Karina Harnois et Vieille âme pour les intimes.
J'aimerais prendre quelques minutes pour vous partager ces quelques phrases avec
humour et transparence.

Sur ce site, vous pourrez lire plusieurs connaissances à mon sujet, des éléments vraies qui rendent ma mission, mon parcours et mes réussites en valeur …
(on appelle ça du marketing).

Par contre, voici réellement ce que j’ai envie que vous sachiez à mon sujet, mais qui vous aurait assurément ennuyé si c’était la première chose que vous aviez lue à mon sujet.

D'abord

J'ai toujours été une «positiviste» et pendant une longue partie de ma vie, ce trait de personnalité m'amenait peu de résultats. Même au contraire, j'avais l'impression que les gens passaient leur temps à me le reprocher. «On sait bien toi, tout est toujours beau, tout est toujours rose et tu ne vis jamais de problème» est une phrase que j'entendais souvent.

Avec recul, je constate que je ne peux pas leur en vouloir, parce qu'il est vrai qu'à force de toujours regarder le bon côté des choses, je ne faisais pas face aux éléments négatifs.

D'ailleurs, il y a eu un temps où j'ai dû me rassoir et prendre conscience des répercussions que cette accumulation avait sur mon quotidien.

J'étais une jeune enfant qui a eu sa part de défis et à qui on a accolé plusieurs étiquettes, une fille qui croit que la vie est toujours rose et que tout finira par s'arranger.

Bref, j'ai longtemps eu cette impression que je n'étais peut-être pas assez ''réaliste'' et j'en étais même venu à me poser la question si ''j'étais normal de penser de cette manière''. Rien de dramatique, je vous partage seulement ma perception à ce moment.

Avec certitude

Il y a du bon dans toutes situations

À mon début d’adolescence, mes parents se sont séparés et pendant un an, j’ai connu l’absence complète de ma mère.

En toute honnêteté, ma mère a toujours été une aspiration de positivisme dans ma vie. Ouffff, ma quête identitaire a pris une débarque à ce moment précis.

Convaincue qu’il y a toujours quelque chose de constructif derrière un nuage, je me suis mise à l’écriture.

Ce bout de papier blanc et ce stylo à bille ont changé ma vie.

Je venais de ressentir la puissance de mettre des mots sur mes maux.

Là, je venais de découvrir mon bouclier longtemps utilisé pour combattre cette confrontation avec les événements négatifs. Après, j’ai compris que tout dépend de l’attitude que je prends pour faire face à une situation frustrante dans laquelle je me sens littéralement impuissante. Aussi, je venais de découvrir une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne ? J’étais une leadeuse. La mauvaise ? J’étais la source de tout ce qui se présente à moi.

J’ai été longtemps saturée des chicanes entre mes parents, des sursauts lors de moments d’agressivité et d’insécurité. Je me disais que le meilleur moyen de «survivre» à tout ça était de jouer la comédie d’une jeune fille rayonnante et souriante.

Littéralement, je me cachais derrière un masque.

L'éveil d'une passion pour

l'être humain

 

Grandissant dans un entourage où mes amies, ma famille et mes proches me soulignent toute leur admiration quant à mon positivisme, je me pose la question suivante : quelle différence je souhaite apporter dans le monde ?

Intéressée et captivée par transmettre la soif de vivre plutôt que d’exister, je me mets à lire des articles et à écouter des vidéos sur le développement personnel.

Philosophe dans l’âme, je peaufine mon écriture en proposant mon premier projet intégrateur en dernier grade du secondaire : Lilo envoie un petit mot. De manière anonyme, ce projet avait pour but de répandre des phrases inspirantes sur les quatre murs de l’école selon des thématiques précises.

Les expériences d’écriture se poursuivent en proposant de rédiger des articles pour l’entreprise vestimentaire de mes amis du secondaire de la marque KOOL qui portent le message premier que tu as tout à l’intérieur de toi, tout est déjà là.

Ressentir des papillons qui jouaient à la tague dans mon corps, je poursuivis mes lectures et mes recherches pour continuer à améliorer la personne que je deviens.

Le premier

Livre

qui a changé ma vie

À 20 ans, après une rupture amoureuse d’une période de 5 ans, me voilà à la case départ.

Investie maladroitement dans cette relation à travers laquelle, le classique, je m’étais perdue, je me pose les questions suivantes : Qui suis-je? Qu’est-ce que je vaux ? Le monde venait de s’écrouler.

Anéantie, je me sentais comme une boussole qui avait perdu sa map. Jusqu’au moment où une amie m’a proposé de faire la lecture du livre : La liste – Jérémy Demay.

Vous savez quand vous avez la conviction que tout arrive de manière chronologique, au bon moment : c’est de cette manière que je me suis sentie à ma lecture de la première page.

J’ai eu l’impression d’avoir fait un reset dans ma vie.

À la lecture de ce livre, je me suis mise à rire. Non pas de Jérémy, mais dans ses écrits. Je me retrouvais a tellement de places dans ses phrases.

C’est là que je me suis mise à appliquer plusieurs outils qu’il suggérait : Le tableau de visualisation et la gratitude entre autre.

Le moment

clé

À l’été de mes 20 ans, je choisis de partir à l’aventure : soit celle de partir découvrir le monde extérieure (je me suis bien faite avoir).

Il faut que je vous avoue : mon intention derrière ce voyage en France en tant que nounou à domicile était dans le but de prendre une distance sur la surcharge émotive que j’ai accumulé depuis mon jeune âge et bien sûr, de découvrir les beaux coins de ce pays.

J’avais envie de sortir de ma zone de confort et de me challenger dans tout ce que j’avais appris en développement personnel depuis mon plus jeune âge. Et bien j’en ai eu pour mon argent.

Émotive, excitée et déterminée, me voilà dans mon siège dans l’avion de l’aéroport de Montréal prête à décoller. Mais peux-tu bien me dire qu’est-ce qui t’a pris de partir dans un pays étranger, seule ?

Ce fût une de mes plus belles expériences de quête personnelle. Face à moi comme seul repère, c’est à ce moment que j’ai goûté à ce que c’est que d’être SA propre meilleure amie.

Après plusieurs rencontres, je m’apprêtais à revenir. Indécise et remplit de questionnements, je choisis de m’inscrire à l’Université en Psychoéducation assurée de poursuivre ma mission : permettre à chaque individu d’être la meilleure version d’eux-mêmes.

Quand la vie a un autre

plan pour toi

Première année d’université se termina lorsque je fais face à un échec monumental pour moi. Je me suis retrouvée comme une vieille chaussette oubliée dans le fond de son tiroir dans le noir : je ne retrouvais plus ma partie de moi positive et remplit d’ambition.

Dévalorisation, je me dis que ce domaine n’est pas fait pour moi.

Ressentir le vide, je me mets à ‘’surfer’’ sur le net à la recherche de je ne sais quoi. Ayant la conviction qu’il existe une force plus grande que soi, je choisis de me laisser ‘’guider’’. Non rien de religieux, plutôt une croyance spirituelle que j’appelle le : lâcher-prise.

J’ai souvent dit que la vérité sort de la bouche des enfants, un jour d’été une jeune s’approche vers moi et elle me dit : tu sais qu’est-ce que tu devrais faire comme travail dans la vie? Coach de vie. Moi qui pensait avoir mis un cadenas sur cette opportunité d’intervenante : cette enfant m’a guidé.

Recherche ce que ce travail signifie, je tombe sur une formation en coaching familial qui vient vibrer en plein dans le mille. Les yeux pleins d’eau, le sourire jusqu’aux oreilles, je choisis de poursuivre mon chemin et d’entreprendre cette formation privée à l’âge de 21 ans.

Retrouver la passion en moi, le je ne sais quoi qui me fait un bien fou : je termine ce que j’ai commencé en m’inscrivant dans un baccalauréat multidisciplinaire. Ça mange quoi en hiver, c’est simple : c’est un parcours avec lequel j’en ai retiré de si grands apprentissages, autant personnel que professionnel.

À l’âge de 24 ans, me voilà investir corps et âme dans ma compagne en coaching familial : Accompagnement Kalibré. Je suis aussi Technicienne en éducation à l’enfance avec une médaille du Lieutenant-Gouverneur du Québec étant nominé par mon implication constante, mon esprit de leadership et ma détermination inspirante. Également, finissante avec succès en tant que bachelière en intervention psychosociale avec trois certificats composés d’une année en psychoéducation, une deuxième en psychologie et une troisième combinée par les disciplines du travail social et de toxicomanie.

La cerise sur le sundae, finissante d’un parcours enrichissant à l’université, une aventure venait de prendre sa fin, mais j’avais la vive conviction qu’une autre venait de commencer.

C’est là, qu’une envie omniprésente m’envahi à l’idée de vouloir construire un projet plus gros dans le but de parler à voix haute à le plus de personnes afin de leur permettre de passer de leur soi actuel à leur soi désiré.

Un soir, fatiguée et baille au corneille, je tombe sur une vidéo d’un homme pour qui je lui dois toute ma gratitude, il s’appelle François Lemay : un homme qui, après avoir fait un burn-out, il a fait le choix d’investir en lui et en sa compagnie en pleine conscience.

Vous savez les mille et une vidéos promotionnelles sur les personnes qui réussissent leur vie dans un métier qui contribue à faire évoluer le monde devant une foule de personnes, soit en conférences mondiales, derrière une caméra, en présence individuelle : c’est à ce moment que je me suis dit : ‘’C’est ce à quoi j’aspire aussi : tant partager et recevoir avec le monde qui m’entoure‘’.

François Lemay a pris ma lampe de poche qui allait d’un côté à l’autre et me l’a dirigé droit vers son mentor, Martin Latulippe.

Une vidéo au sujet de l’Académie Zérolimite sur la page professionnelle de Martin me faisait vibrer de la même manière que lorsque j’ai choisis de suivre le cours en coaching familial. Vous savez votre petite voix intérieure qui vous parle : je l’ai écouté, je me suis mise allier avec elle et j’ai plongé dans cette aventure de l’AZ.

C’est donc sans connaître ce qui m’attendait, sans une fortune en poche et sans crédibilité que je me lançais là, à la poursuite de mon rêve que plusieurs personnes considéraient impossible.

Aujourd’hui, après des montagnes surmontées, des vagues à surfer, des remises en question, des doutes et bien d’autres défis, j’étais loin de pouvoir imaginer qu’un jour ma mission me mènerait où j’en suis aujourd’hui.

Remplit de gratitude, je mets la main sur un entretien que Martin a eu avec Jean-Marc Chaput dans lequel ce dernier lui partage avec grande sagesse : ‘’ Tu sais mon ami Martin, ma femme m’a déjà dit dans un moment où j’ai tout perdu : Jean-Marc,tu as peut-être perdu ton emploi, ta maison, ta voiture, mais ce qu’il y a à l’intérieur de toi ; ça personne ne peut te l’enlever.

Et toi,

qu’est-ce que personne ne peut t’enlever? ; Quelle est ta mission de vie ?

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